2009-02-12 01:51:20 UTC
«Sémite : qui appartient à un ensemble de peuples du proche Orient parlant ou ayant parlé dns l'antiquité des langues sémitiques (Akkadieus, amonites, araméens, phéniciens, arabes, hébreux, éthiopiens)
"Le Larousse"
Israël après des décennies d'impunité absolue est bel et bien au banc des accusés, comme l'ont été les dirigeants nazis qui ont planifié le génocide des juifs à travers le monde tout en massacrant 22 millions de soviétiques durant le deuxième conflit mondial. Un génocide d'une ampleur sans précédent passé par pertes et profits parce que les suppliciés vivaient sous un régime communiste. Le paradoxe est que des «philosophes» de T.V et de réseaux amicaux, rémunérés ou terrorisés oublient avec ferveur tous les génocides au profit d'un seul, celui du peuple hébreux pourchassé dans toute l'Europe. Cell-ci n'en finit pas de culpabiliser au point de sacrifier le peuple palestinien, espérant une redemption dans le sang et les os broyés des civils à Ghaza. Israël est désormais accusé de crimes contre l'humanité, de crimes de guerre, d'utilisation d'armes de destruction massive et de mon-respect des conventions internationales en temps de guerre.
L'état juif est accusé à juste raison de génocide, de crimes barbares et racistes, d'antisémitisme (les arabes sont sémites) et se trouve dans l'obligation pour calmer le jeu et jouer le temps, de créer une commission d'enquête, en assurant la hiérarchie de Tsahal de n'avoir de comptes à rendre à aucune juridiction internationale. Ce qui est bon pour des dirigeants africains et de l'ancien bloc ammuniste ne l'est pas pour les dirigeants meurtriers en Israël . Et qui osera en Allemagne, en France et en Angleterre demander à Israël de bien vouloir détruire son arsenal nucléaire et ratifier les conventions de l'ONU sur la conduite à adopter en temps de guerre ? Les accusateurs et les témoins à charge contre Israël ne sont pas tous d'origine arabe ou musulmans. Loin de là des ONG, des juristes, des responsables politiques et syndicaux, un chef d'état d'Amérique latine, le responsable du gouvernement turc, des élites influentes dans les arts et lettres, la presse et les médias, des penseurs loin des émissions T.V de connivences idéologiques, ethniques et/ou politiques, tous originaires hors du monde arabe et musulman ont brisé le tabou des tabous. Ce dernier reposait sur un postulat terroriste: celui qui critique le régime criminel de Tel Aviv est forcément antisémite, à la limite pro-nazi. Pas moins! on a été jusqu'à traiter les arabes anti-sionistes d'autisemites, donc anti eux-mêmes jusqu'ils sont sémites eux aussi.